Très vite, l’adolescent doit avoir une idée de sa future profession. C’est anxiogène car a priori déterminant pour son avenir alors qu’il aurait la vie devant lui pour explorer et expérimenter différents domaines.
L’approche d’AJCC :
– Renforcer les fondamentaux (c’est l’objectif premier car ils feront la différence à diplôme égal) : développer ses « soft skills » – c’est-à-dire ses qualités humaines et comportementales, son savoir-être, son esprit d’équipe – et se cultiver.
– Viser, autant que possible, l’acquisition de compétences généralistes autant que techniques pour être en capacité de s’adapter aux mutations économiques.
Face à une difficulté d’intégration scolaire ou d’apprentissage, le choix d’un cursus court est parfois proposé trop rapidement, sans vraiment tenir compte des autres potentialités du candidat.
Avant la décision d’orientation, AJCC aide à évaluer la situation pour définir les axes à travailler :
L’adolescent se voit-il dans ce que sa famille projette pour lui ?
Accompagnée, la famille partage ses aspirations et ses craintes.
Cette médiation aide à l’élaboration du projet.
Grâce à l’intervention de Pascale GILLES, neuropsychologue, AJCC apporte également son soutien aux adultes, adolescents ou enfants au travers de bilans neurocognitifs et d’ateliers de soutien et de remédiation cognitive
Aux enfants ou adolescents présentant :
>un trouble attentionnel TDHA
>un trouble de l’apprentissage liés à une dyspraxie, dyslexie, dysphasie, dyscalculie, dysgraphie
>une précocité intellectuelle
>une déficience intellectuelle
>une maladie neurologique
Aux adultes :
>ayant été confrontés à une lésion cérébrale due à un accident vasculaire ou un traumatisme crânien par exemple
>se plaignant de leur mémoire, de leur fonctionnement intellectuel, de leur comportement
>présentant une maladie neurologique
S’octroyer une pause à la suite d’un événement survenu au travail ou en famille.
Le burn-out (et aussi le bore-out / s’ennuyer au travail) devient pesant.
Le salaire ou la reconnaissance laisse à désirer.
Le licenciement, économique ou non, place « au pied du mur ».
Le quotidien ne présente plus le même intérêt et la déprime s’installe.
C’est le moment de faire le point !
